Confinement oblige, dans le silence de la maison j’ai entendu l’appel de mes pinceaux. Et puis d’aller télé-travailler tous les jours à la mairie, dans le grand bureau blanc, ma première Marianne se sentait seule, il lui fallait de la compagnie. Ne voulant pas attendre 3 ans comme la première toile, emporté par la technique de la précédente, je la voulais cette fois ci plus glamour, légèrement insolente et plus moderne… Inspiré par Franck Bouroullec et son œuvre tirée d’une vielle photo de Maryline, j’ai laissé ma brosse glisser sur la toile.